Debrief général Folk 2023

Lundi 9 octobre
Présent-es : Églantine, Guilhem, Thibault, Lena, Yola, Pascale, Nolwenn, Pierre, Marianne, Valentin, Scillia, Xavier, Neige, Florian, Adeline, Quentin



Météo générale

Tout le monde est content-e : points particuliers notés ci-dessous
  • Églantine : J'ai kiffé. Notamment, qqn a dit "C'est un collectif qui a organisé ça ?
  • Guilhem : Super édition
  • Thibaut : Niveau musical dingue, au in et au bœuf
  • Lena : Touchée de voir les gens arriver, la vie pendant le festival, le départ après
  • Yola : S'est sentie très accueillie
  • Nolwenn : Les postes de bénévolat étaient agréables à faire. Communication fluide, très confortable
  • Pierre : Belle équipe, belle bulle
  • Marianne : Belle faille spatio-temporelle. J'aimais bien Mange Bal car c'était péchu. Là j'ai aimé, mais peut-être que j'aime encore plus quand c'est péchu
  • Scillia : Plein de groupes avec du chant, j'ai adoré. Très touchée par les moments de chant partagé.
  • Neige : L'année prochaine c'est les 10 ans !
  • Adeline : La prog m'a plu par le côté voix. Les groupes étaient chouette à écouter. L'ambiance pour les débutants était chouette.
  • Quentin : Des hauts et des bas (mais les bas plutôt hauts quand même). Bonne place à l'anti-sexisme. Sessions très très cool.


En général, et comment on pourrait faire évoluer le festival

  • Guilhem : en tant que non danseur, c'est compliqué d'avoir accès à la salle car elle était comble, d'avoir accès à la scène ou autre : obligé de longer les murs entre les gens qui dansent et celleux qui sont assis-es. Réfléchir à des circulations ?
  • Yola : Réfléchir à des coins chill ?
  • Lena : A beaucoup apprécié la soirée au CADA. C'est une qualité du Morimont de mélanger des personnes de partout, avec des histoires différentes. Découvrir aussi des danses de la Côte d'ivoire par exemple ?
  • Églantine : ouvrir et/ou agrandir la bulle... Très envie de faire entrer d'autres énergies. Le travail avec les réfugié-es est en cours, et l'idée est d'aller de plus en plus dans ce sens là.
  • Quentin : Fabien a fait un retour dans ce sens : c'est chouette qu'il y ait de l'ouverture, avec le numéro de trapèze de neige, l'intervention de Cyrille sur les différents types de scrutin. Aller encore plus par là
  • Pascale : Attention, c'est un festival de musique folk, et les gens viennent pour ça. C'est bien de stimuler, mais ne pas perdre l'esprit de base.
  • Guilhem : Ouvrir permettrait d'ouvrir, alors que là on est de + en + sur les folkeu-ses les plus féru-es. Vendredi des gens d'Oberlarg sont venu-es alors qu'iels avaient un pass, mais ne sont pas revenu-es : on ne sait pas pourquoi, mais à leur place j'ai l'impression que le festival est peut-être un peu fermé.
  • Florian : Il y a plein d'autres festivals. Si celui-ci ne convient pas à certain-es, iels iront ailleurs. Ne pas nous brider, tout en respectant le fait que c'est un "festival folk". Le but du festival n'est pas d'attirer uniquement les meilleur-es danseureuses.
  • Neige : j'ai vu pas mal de gens danser dehors. Ça pourrait aider d'avoir un mini-parquet dehors, aussi pour les bœufs. Ça pourrait aérer.
  • Pascale : Ce serait intéressant de savoir pourquoi les gens d'Oberlarg ne sont pas revenu-es.
  • Thibaut : Il y a en effet plein de festivals qui existent, et le nôtre commence à être bien connu. Les gens nous font confiance : on peut se permettre de proposer d'autres choses. OK avec les idées d'ouvrir un peu plus.
  • Yola : Prévoir un peu plus de créneaux d'initiation de danse à destination des débutant-es. Et/ou à chaque danse : avoir des groupes qui expliquent la danse qui arrive.


La cuisine et le service

  • Scillia : A l'hôtel, j'ai trouvé compliqué de garder chaud, car tout le monde ne venait pas en même temps. Des gens ont mangé froid. Mais les repas étaient fou et incroyable.
  • Marianne : A apprécié l'aide de Clifford et de l'équipe. Iels ont aidé les gens qui faisaient les shifts
  • Églantine : Ce serait bien qu'il y ait une personne référente pour la cuisine, le service et la mise au frais ensuite, pour éviter d'avoir à réinventer la poudre à chaque service. Quitte à payer cette personne.
  • Prise de température sur cette idée : moyen à positif
  • Guilhem : En même temps, c'est pas hyper grave si certain-es mangent pas hyper chaud.
  • Neige : Même froid, c'était bon.
  • Pascale : Ça s'est très bien passé. Il y a toujours des petits problèmes de chaud / froid, mais ça se passe bien quand même. Avoir qqn-e de responsable qui donne des ordres à des bénévoles, ce n'est pas du tout dans l'esprit de ce qu'on fait.
  • Marianne : On pourrait essayer, faire l'expérience, et voir
  • Guilhem : On a essayé une année avec un-e bénévole et c'était cool
  • Églantine : C'était pas forcément cool...
  • Nolwenn : C'est compliqué de faire la cuisson pour tout le monde en même temps, mais c'est bizarre d'avoir des repas différents pour les bénévoles et pour les festivaliers.
  • Guilhem : On essaie de faire de plus en plus la cuisine nous-mêmes, et là on a fait plus que d'habitude, mais à voir si on continue dans cette direction ou non. Besoin d'avoir les retours de la cuisine pour savoir.


Les wraps flambés

  • Neige : ils avaient l'air super bon, j'aurais bien voulu en goûter !
  • Quentin : Pourquoi pas en faire à la soirée bénévole ?
  • Pascale : c'est une bonne formule, c'est pas compliqué à faire et ça plaît à tout le monde
  • Florian : Il y a peut-être eu encore des galères de préparation, mais on est limité-es par le four : compliqué de faire mieux.
  • Marianne : 8€ le wrap, comme le repas est à 8€. J'ai eu des écho sur le fait que les 2 ne se valaient pas : wraps trop chers, ou repas pas assez cher.
  • Quentin : Ça m'irait de ne plus faire de wraps flambés, car je suis vegan
  • Florian : Habituellement il y avait vegan à chaque fois, mais là le dimanche il n'y avait pas vegan
  • Thibaut : Il faut arrêter la Munster, car l'odeur dans la salle pendant le bal, c'était vraiment dur.
  • Quentin : Pour la vegan, mettre de la base soja, tofu fumé, etc. plutôt que de la base tomate.
  • Guilhem : Peut-être arrêter les lardons ?
  • Florian : L'année dernières les lardons avaient été hyper demandés
  • Marianne : N'avoir que 2 recettes au lieu de 4, c'est beaucoup mieux
  • Florian : Produire en continu plutôt qu'à la carte, vous en avez pensé quoi ?
  • Pascale : Le 2è soir, on a préparé de notre côté, puis on disait aux gens "on a ça en stock", et ça allait aux gens de choisir parmi ça.
  • Guilhem : Je serais pour cette solution, mais en enlevant la carnivore pour que tout le monde ait autant de choix. Et ça colle avec l'esprit du Labo M.


Bénévoles : prépa / pendant / démontage

  • Églantine : Cette année il y a eu beaucoup de changements de dernière minute. C'était ok, mais compliqué à gérer en logistique, pour les repas et les dodos. COomment gérer ces imprévus ?
  • Guilhem : Ella propose de faire plus de communication avec les bénévoles en amont, pour qu'iels comprennent que c'est important qu'iels tiennent leur engagement. Garder un contact plus personnel et plus régulier avec les personnes qui s'inscrivent en tant que bénévoles.
  • Églantine : Dans notre organisation collective, on a des implicites sur notre fonctionnement. Certaines personnes étaient très en décalage, et ça a pu mettre d'autres personnes en difficulté. Comment faire ?
  • Lena : Je me sens en décalage, car j'utilise le minimum possible le digital, mais j'adore venir, mais je ne peux pas entrer dans une communication par mail, ou juste pour le strict minimum. De plus en plus, partout, on prépare en virtuel, et ça me pose un problème. Jusqu'à quel point on veut utiliser ces moyens, or ils deviennent de plus en plus complexes, et consomment de plus en plus d'énergie. Ça me questionne. Mais comment préparer d'avance si on n'est pas sur place ?
  • Guilhem : On se pose en effet la question. Les bénévoles ne sont pas forcé-es à participer à l'organisation. Quand on dit "garder la communication" pour éviter les désistements, ça peut être de passer des coups de fil.
  • Thibaut : Le formulaire ne suffit pas : il faut formulaire + contact
  • Yola : C'est cool un appel, y compris pour détailler les shifts (tisanerie je ne savais pas ce que c'était). Mais c'est peut-être beaucoup de travail en amont ? Cela dit, pour moi c'était ok et je n'ai pas forcément manqué d'infos.
  • Xavier : Quand je suis retourné sur le site pour chercher les fiches techniques, je ne les ai pas trouvées. En fait je les ai trouvées sur l'appli. Peut-on faire se ressembler ? Sur cette question des fiches techniques : penser à noter l'année dessus.
  • Florian : Pour les nouvelleu-ses : il faut les fiches de poste à l'avance, qui soit éventuellement visuelles pour pouvoir mieux se représenter les choses. Si des bénévoles ont envie de s'investir là-dedans. Faire des infographies qui détaillent les shifts. Mettre l'essentiel sans rentrer dans le détail (qui sera donné sur place).
  • Nolwenn : Par exemple, au Grand Bal il y a un appel téléphonique pour chaque nouveau-nouvelle bénévole pour éviter les erreurs de casting. L'application c'est top, mais ici il n'y a plus de réseau donc compliqué d'y avoir accès.
  • Quentin : On gagnerait à avoir un peu plus de bénévoles, car certains créneaux ont manqué de main d’œuvre.
  • Thibault : A peut-être manqué d'un ou deux workaway (ce n'est pas tout à fait la même chose)


Navettes

  • Quentin : Véhicule agréable à conduire. Pas habitué à l'automatique, mais une fois passés les premiers 100 mètres, c'était ok. C'était chouette d'accueillir les artistes dans un véhicule propre.
  • Églantine : On pourrait peut-être faire un peu plus en-dessous dans la gamme.
  • Pascale : Super d'avoir une voiture propre et de grande capacité, mais là ça faisait voiture de droite.
  • Pierre : J'ai été un peu perdu avec le côté automatique et beaucoup d'électronique : un brief aurait été utile.
  • Quentin : J'ai eu l'impression que ça a été plus fluide cette année que les années précédentes.
  • Églantine : On n'a pas fait de navettes pour les festivalier-es
  • Guilhem : C'était l'enfer d'en faire, les gens arrivaient en retard et demandaient qu'on revienne les chercher. On n'a pas eu de remarques à ce sujet.
  • Pascale : Faire des navettes pour les artistes + les fetivalier-es, ça devenait un véritable casse-tête. Beaucoup trop compliqué. Notamment car tout le monde arrive d'endroits différents.
  • Pierre : Prévoir un espace covoiturage sur le site ou qq part ?
  • Lena : Ecrire sur le site que tous les gens qui viennent en voiture passent par une gare pour voir s'il y a qqn-e ? Réaction plutôt dubitative...


Bar de la grange

  • Marianne : J'étais perturbée. On a organisé le bar avec Ben. Mais après je n'avais plus de shift au bar. J'ai compris que mon rôle de référente était de m'assurer que ça se passe bien. Mais j'aimerais savoir comment les gens qui ont fait des shifts au bar l'ont vécu.
  • Églantine : Les shifts étaient fait avant que tu prennes ton poste de référente, c'est pour ça...
  • Yola : C'était super clair au bar, les affichages etc.
  • Florian : Super clair en effet. Peut-être juste les affiches un peu petites. Et voir où sont les prix.
  • Pierre : Les festivalier-es semblaient avoir du mal à voir les menus et les prix
  • Thibaut : Il faut beaucoup plus de gingembre.
  • Quentin : Il y a eu une remarque sur les horaires d'ouverture + de déporter le bar, pour vendre des boissons fraiches et autres en extérieur
  • Scillia : La bière à la tisanerie, ça a bien marché, le dimanche à 13h15. Et ça n'a pas créé de stress dans la tisanerie.
  • Pierre : Tisanerie 17-19h, il y avait aussi pas mal de demandes en bière. Donc bien d'y mettre la tireuse, plutôt que de passer par les loges pour aller remplir des carafes de bière.
  • Florian : à aménager avec la météo
  • Guilhem : Sur l'application, il est possible de mettre des commentaires pour chaque shift, pour qu'on puisse adapter l'année prochaine.
  • Marianne : Avec Ben on aimerait bien proposer plus de cokctaïl. On a tout vendu, alors que c'est la boisson la plus chère : 4 bouteilles de gin.
  • Neige : Prévoir des cocktail sans alcool
  • Yelo : Si plus de cocktail, il faut des briefs oraux (les affiches ne seront pas suffisantes)


Tisanerie

  • Thibaut : Construire un nouveau bar, plus facile à construire / déconstruire
  • Scillia : La tisanerie, je m'y sens vraiment très bien. Mais j'ai trouvé que les bouteilles de rhum ne se vendaient pas (aux heures où j'y étais).
  • Guilhem : Peut-être que ça part surtout après la fermeture ;-)
  • Nolwenn : A un moment il manquait de verres de shooter, ce qui était moins agréable pour boire
  • Thibaut : J'ai fait le dernier créneau du samedi. Les gens sont beaucoup venus jusqu'à 3h. On ne peut pas fermer la tisanerie avant la fin des bars.
  • Pascale : Y a-t-il des gens qui ont dormi dans la tisanerie (des gens au téléphone avaient demandé si c'était possible). Réponse : non (ou alors pendant les heures d'ouverture)


Entrée / Billetterie

  • Guilhem : Cette année on a fait l'entrée avec la caisse. Qu'en avez-vous pensé ?
  • Pierre : Il y avait des gens un peu perdu, surtout à cause des wraps. Du coup des gens allaient à la tisanerie pour acheter des coupons conso, mais la caisse était de l'autre côté.
  • Pascale : J'ai trouvé bien d'avoir un endroit où on vend tout. Il y a des moments de rush où il faut y être nombreu-ses, mais c'est bien d'avoir un endroit de référence.
  • Neige : Mettre la caisse vers la grosse porte, là où il y avait le PhotoBoost ? Ce qui permettrait de mettre une entrée spéciale bénévoles vers le fond. Mais l'entrée de la tisanerie était déjà pas forcément très visible, donc peut-être que ça l'isolerait encore plus.
  • Nolwenn : On a manqué de tickets et il a fallu en recouper au fur et à mesure. Il y a eu des bugs avec des gens qui n'avaient pas compris qu'iels pouvaient se faire rembourser les billets que jusqu'au dimanche soir (iels ont demandé à être remboursé-es le lundi). Mieux communiquer aussi sur les boissons suspendues : le dire à la caisse et/ou à l'affichage.
  • Guilhem : En effet on n'avait pas vraiment organisé les tickets suspendus.
  • Marianne : Le mettre sur le site en amont ?
  • Nolwenn : Mettre peut-être à la caisse une fiche avec les prix (pour les gens qui veulent des tickets pour 2 bières)
  • Thibaut : Les horaires notés à la table de la caisse n'étaient pas les bons


Nettoyage

  • Quentin : J'en étais responsable
Compléter
  • Églantine : Il y a une liste à cocher, et il faut la suivre, mais il faut aussi regarder au-delà
  • Lena : C'est bien d'être 2 parce qu'il y a beaucoup à faire. 1h ce n'est pas assez si on est seul-e. Pour le gaz, c'était dangereux parce que les gens ne savent pas qu'il faut refermer le réchaud. Il faudrait mettre une explication sur l'utilisation du réchaud. Il semble en effet que des festivalier-es ont utilisé le réchaud elleux-mêmes.
  • Scillia : Le shift dure beaucoup plus d'1h. On était 2, et on a mis plus de 2h. Ça aurait été bien d'être 3, ou couper le shift en 2.
  • Neige : Faire des shifts nettoyage par zone.
  • Quentin : Il est possible de faire les choses en suivant un parcours.
  • Églantine : On n'a rien trouvé au râteau, mais j'ai trouvé les festivalier-es sales cette année, tables non nettoyées etc. Faire des affichages ?
  • Thibaut : Un festivalier s'est occupé d'allumer les douches. J'ai eu l'impression que vous courriez beaucoup sur le nettoyage. Les toilettes à l'intérieur ont été bouchées à plusieurs reprises.
  • Neige : Une festivalière m'a demandé de l'eau froide pour les douches, qui se retrouvaient bouillantes.
  • Lena : Il faudrait que les tuyaux soient toujours accessibles.


Vaisselle bénévoles

  • Lena : J'ai trouvé agréable avec l'équipe de l'hôtel, on pouvait leur poser des questions. Être une équipe de 3, c'était bien.
  • Marianne : Peut-être mettre des étiquettes pour qu'on sache où ranger les choses.
  • Thibaut : En bas derrière le bar, c'était chiant de faire la vaisselle de la cuisine quand il y avait des besoins immédiats.


Ateliers

  • Eglantine : Il y a eu des soucis, et c'est la première fois. Seulement 3 ateliers folk (2 de danse, 1 de musique) et plusieurs off. Il y a eu 2 ateliers pro où des gens ont mal vécu : un où qqn-e a été mal à l'aise avec le contact (alors que c'était bien expliqué sur le site). Et un raté : la mise à jour de la présentation de l'atelier Musique d'ensemble n'a pas été mise en ligne. 2 personnes ont dû quitter l'atelier. Heureusement que Fabien 'est senti libre et en confiance de gérer son atelier comme il l'entendait.
  • Neige : J'ai vu l'atelier Danse contact et j'ai trouvé ça super que ça ouvre le panel de la danse.
  • Guilhem : Je pense qu'on n'a pas bien communiqué sur le off / le in. On les a mis sur le même niveau, alors que certains étaient gratuits et pas d'autres. Dire clairement qu'au festival folk il y a du off, et mettre les descriptions au plus tôt.
  • Quentin : J'ai trouvé super qu'il y ait une restitution d'atelier.
  • Adeline : en chant c'était un peu improvisé la restitution.
  • Neige : En changement de plateau, une musicienne a demandé quelles danses il allait y avoir. Question surprenante. Faut-il informer les groupes sur les danses que les gens ont l'habitude de danser.
  • Xavier : Sur le stage de danse-contact, peut-être qu'il aurait fallu un truc un peu plus light pour les débutant-es qui ne connaissaient pas.


Programme off : interplateaux, initiations, stages gratuits, concert en forêt

  • Quentin : Les initiations étaient vraiment chouettes. Un peu chaotique car ne s'étaient pas mis d'accord en avance sur quelles danses transmettre. Mais retours positifs. On a fait des initiations de danses un peu compliquées, et cétait
  • Adeline : bon retour sur les initiations. Sur l'atelier de chant : le fait gratuit rend l'inscription bizarre. La moitié au final n'étaient pas inscrits. C'est compliqué à tenir.
  • Neige : Interplateau sur l'antisexisme : bonne initiative et c'était bien (on en reparle)
  • Thibaut : Avoir un parquet en extérieur permettrait des ateliers impromptus.
  • Yola : Mettre un tableau pour des ateliers autogérés ?
  • Neige : Faire une scène ouverte sur un parquet dehors ?
  • Églantine : Les scènes ouvertes et les trucs autogérés, c'est un bon moyen pour les organisateurices d'avoir de la programmation gratuite. Je suis assez contre ça.
  • Yola : Mais des personnes qui viennent et paient leurs entrées, mais n'ont pas les moyens de payer les ateliers. Mais des ateliers spontanés, c'est chouette pour les personnes qui n'ont pas les moyens.
  • Xavier : Les scènes ouvertes permettent aussi à des groupes débutants de se faire connaître. Considérer que c'est en plus, donc ça ne change rien pour la programmation.
  • Nolwenn : Vu qu'il y a du off gratuit, ça pose question.
  • Florian : Il y a déjà des stages gratuits
  • Églantine : Ce qu'il faudrait, ce serait de faire en sorte que les gens qui n'ont pas les moyens puissent aller à tous les ateliers qu'iels veulent. Le fait d'avoir une programmation gratuite, c'est discuté avec les personnes, et ça peut être remis en cause.
  • Neige : Les entrées sont pour les soirées. L'après-midi, ça permettrait
  • Nolwenn :
  • Églantine :
  • Adeline : Définir ce qu'est le off, qui peut proposer quoi
  • Églantine : Pour moi le off c'est ce qui est "hors-folk". Donc les initiations et le concert en forêt, c'est du in même si c'est gratuit.


Décoration

  • Thibaut : La déco de la grange, on aurait pu faire plus. Mais l'extérieur était très beau.
  • Nolwenn : C'est la première fois que je viens, et c'était très beau.
  • Marianne : Le fait qu'il y avait moins de déco, ça facilitait aussi le montage et le démontage. D'autant que j'ai du mal au démontage, je n'ai plus d'énergie...
  • Florian : Compliqué de trouver l'équilibre sur le temps à investir sur la déco, d'autant que la semaine de montage est courte.
  • Thibaut : On a eu le contre-coup d'avoir 4 à 5 personnes en moins.
  • Lena : La grange est tellement belle : voir les murs et les poutres, c'est très beau.
  • Églantine : J'ai adoré le fond de scène


Antisexisme

  • Neige : Quand on en a parlé le dimanche soir, il y avait peu de monde, et c'était les personnes les plus briefées. Et essayé de rendre ça attirant : mettre en scène ?
  • Quentin : Le speech a été fait à chaque fin d'initiation + une fois par soir en interplateaux. C'est un sujet sur lequel on pourrait s'accorder à avoir une réunion en amont. Lucas aurait aimé prendre la parole, mais s'est senti en manque de préparation, et donc n'y est pas allé. Moi j'ai trouvé ça dur d'être clair et concis, en 2 langues. Nécessité de préparer et se préparer en amont.
  • Xavier : C'est surprenant et décevant qu'il faille encore faire ce type de prises de parole. Le Violentomètre sur le bar était écrit trop petit.
  • Thibaut : J'ai été mal à l'aise qu'on n'en parle qu'en fin de brief le jeudi. En plus je n'étais pas d'accord avec tout et il n'y avait pas l'espace pour en parler.
  • Marianne : Moi aussi. J'ai été intéressée mais je n'ai pas eu le temps.
  • Neige : OK pour faire une réunion et préparer. Mais ce que vous avez dit, j'ai trouvé ça très bien.
  • Florian : Les affiches dans les toilettes, il faudrait les mettre sur des surfaces exprès, et pas sur le papier directement.
  • Yola : Super qu'il y ait des pancartes. Pour la prochaine fois, faire une réunion pour définir plus clairement quelles sont les personnes auxquelles on peut s'adresser. Le nœud rose, est-ce que c'était clair pour les festivalier-es ? (réponse : ça a été dit en fin d'initiations et dans les interplateaux)
  • Lena : Les affiches étaient vraiment bien faites. Et ce n'est pas facile de monter sur scène pour parler de ça. Merci de l'avoir fait.
  • Xavier : Le nœud rose est le symbole de la lutte contre le cancer du sein notamment au mois d'octobre (mauvais timing)
  • Thibaut : Pour moi, la prise de parole au micro sur scène ça ne sert à rien et ça alourdit les soirées. Il n'y a que les convaincu-es qui écoute, et ça agace les autres.
  • Neige : Je suis assez d'accord avec ça.
  • Marianne : On m'a beaucoup demandé si je voulais mener, et j'ai trouvé ça super positif.


Soirée bénévoles

  • Thibaut : J'ai adoré le jeu de mimes, et le karaoké
  • Églantine : C'était spontané, mais j'ai eu la sensation de galérer au moment de lancer le jeu de mime. Ça m'allait, mais est-ce qu'on se dit qu'on continue comme ça ou on se met des garde-fous ?
  • Guilhem : Ce serait bien d'avoir une personne référente qui réfléchit avec d'autres personnes. Pour éviter que ça fasse pschitt si personne ne prend le truc en main.
  • Neige : S'il y a une personne référente, comment la contacter ? Réponse : participer aux réunions d'organisation en visio !
  • Florian : C'est chouette que des gens prennent le lead, mais c'est agréable aussi quand les choses sont définies.
  • Thibaut : J'ai aimé le jeu de mimes, mais je crois que j'aurais aimé un peu plus de jeux pour faire plus de fédération. Cette année je n'ai pas senti un ensemble de bénévoles, il y avait plutôt des îlots.
  • Neige : Je n'ai su qu'au bout de deux jours où était le QG.
  • Xavier : Penser à inviter les salarié-es.
  • Adeline : Je suis arrivée le vendredi à 20h30, du coup forcément je ne faisais pas partie du groupe. Les autres années, quand je ne pouvais pas venir en avance, je ne me mettais pas "bénévole". Là je l'ai fait parce que je proposais atelier et interplateaux, mais c'est bizarre d'être bénévole sans être réellement dans le groupe.
  • Scillia : C'est en effet bizarre de découvrir des gens au moment de démarrer son shift.
  • Neige : Avoir un signe distinctif c'est bien
  • Églantine : On avait prévu des t-shirts sérigraphiés, mais ça a raté...


Le QG

  • Quentin : Cette année je n'y suis pas trop allé, alors qu'il était bien. Mais c'est sans doute parce que le temps était beau. Peut-être qu'il manquait de boissons.
  • Églantine : J'ai pas trouvé cool de passer plusieurs fois et de trouver les bols vides, alors que les stocks étaient juste à côté
  • Neige : J'ai trouvé ça chouette d'avoir un endroit pour m'échauffer avant de faire le trapèze
  • Marianne : J'ai trouvé ça pratique d'avoir un lieu où poser mes affaires.
  • Églantine : Et si le QG devenait une consigne pour instruments ? Car il y a une demande de consigne.
  • Thibaut : Je ne l'ai pas utilisé (d'autres disent "moi non plus")
  • Yola : Je crois que je n'ai pas trop compris le principe, du coup je n'y suis pas allée. Mais je ne sais pas si j'y serais allée de toute façon.
  • Nolwenn : Je n'ai pas besoin d'un QG, mais savoir qu'il y a un endroit avec de l'affichage et de la ressource, c'est intéressant.
  • Thibaut : Pour le tableau d'affichage, on s'est un peu raté-es. Les réunions du midi aussi.
  • Églantine : Ce que je comprends, c'est que les bénévoles arrivent petit à petit, et on n'arrive pas à se regrouper. On a réussi à faire la photo et c'était cool. On était censé-es faire des briefs tous les midis, et ça n'a pas marché.
  • Guilhem : C'est super de faire des trucs de groupe, mais j'ai l'impression que sur le moment ça fait chier tout le monde, ça casse l'énergie des shifts. Définir plus clairement l'objet de cette réunion pour qu'elle vaille le coup.
  • Neige : Faire un rituel, qu'à un moment de la journée on fasse qqch ensemble pour dynamiser le truc.
  • Nolwenn : Mettre un trombinoscope avec les affichages ?
  • Quentin : J'ai trouvé que les briefs ont été utiles. Samedi ça a permis de pointer des choses notamment sur l'antisexisme.
  • Guilhem : Il faudrait aller chercher tout le monde, or c'est compliqué d'avoir l'énergie de le faire. Avoir une personne référente des bénévoles pendant le festival ?
  • Florian : Sonner la cloche du Morimont ? Trouver un signe


Public

  • Églantine : Comment gérer les personnes qui nous mettent mal... ? Compliqué, quand on est bénévole, d'accueillir les critiques éthico-politico de l'organisation. Une personne a dit qu'on était des horribles personnes, qu'on la laissait partir en ayant faim, etc. : c'est dur.
  • Guilhem : Une personne qui n'a pas payé ses places, a grillé la file des wraps et n'a pas payé, et a fait plein de critiques. Le dimanche soir à minuit elle a fait des demandes et des reproches.
  • Yola : J'ai aussi dû la gérer à la tisanerie. C'est compliqué parce qu'on ne sait pas ce qu'il s'est passé avant. Comment gérer, et est-ce qu'il faut en parler aux autres ?
  • Quentin : Ce qu'il faut surtout, c'est que personne ne se retrouve seul-e à gérer de la lourdeur voire de la violence.
  • Lena : Hier elle s'était endormie au feu, et des gens sont venu-es me voir en demandant à ce que l'orga fasse attention à elle. Je suis un peu restée avec elle, mais après j'ai demandé de l'aide car je n'avais pas la patience de rester encore.
  • Marianne : Au début du festival, faire un point entre bénévoles pour parler de ce genre de cas. Dire qu'il ne faut pas rester seul-e et prendre la responsabilité sur ses épaules.
  • Neige : Est-ce qu'il y a un poste de secours ? Savoir s'il y a des secouristes dans l'équipe. (Réponse : on avait, mais on n'a pas communiqué)
  • Nolwenn : Suggérer aux gens de mettre leurs remarques dans une boîte à idée.
  • Églantine : Concernant le cas avec le chien, la personne a un peu sur-réagit à ma remarque. Et je lui ai dit qu'elle pouvait envoyer un mail pour faire des propositions. C'était une façon de circonscrire la discussion.
  • Yola : La personne dit qu'elle s'est sentie humiliée. Prévoir des espaces ou des gens pour réagir dans ce genre de cas ?
  • Thibault : A retenir : toujours demander du soutien, ne pas être seul-e.
  • Guilhem : Ce sont des cas toujours différentes, et qu'on ne voit pas venir. Par contre, il faut absolument qu'on soit solidaires entre nous : si on voit un-e camarade en difficulté, intervenir à ses côtés.


Divers

  • Xavier : Sur la billetterie et le contrôle des entrées. On contrôlait les bracelets des personnes, alors que toutes les portes étaient ouvertes ailleurs.
  • Xavier : Je connais des luthiers qui m'ont demandé s'il y avait des luthiers au festival. Y a-t-il une place pour les luthiers dans le festival ?
  • Lena : Benjamin m'a dit qu'il avait envie de passer une semaine de plus au festival pour faire des choses ensemble, des chantiers ou autre. Je ne suis pas sûre de pouvoir prendre 2 semaines, mais j'ai trouvé l'idée intéressante.
  • Églantine : Il faut une horloge
  • Églantine : Il faut un lieu de rdv pour faire collectif et démarrer le démontage le lundi
  • Neige : Manque de communication autour de qui est secouriste, où est le poste de secours, etc.


Organisation pré-festival pendant l'année

  • Guilhem : J'ai eu un retour de Ella, qui fait partie de l'organisation, qui a dit qu'elle n'allait peut-être plus participer à l'organisation en amont, car elle ne se sentait pas utile. Est-ce qu'on a relâché le fait de donner les moyens aux gens de participer à l'organisation ? En plus, comme l'organisation roule de plus en plus, ça n'aide pas à se sentir investi-e.
  • Marianne : J'aimerais bien faire partie de l'organisation en amont, notamment pour créer des fiches de poste. Car là on a galéré sur le bar.
  • Adeline : Il faudrait prévoir une ou deux réunions, peut-être 15 jours avant, pour faire l'accueil bénévoles et un début de brief.
  • Églantine : On l'a fait, mais les gens ne se sont pas connecté-es
  • Quentin : Ça pourrait permettre de commencer à parler des sujets antisexistes et autres
  • Nolwenn : Est-ce que l'idée c'est d'intégrer les bénévoles à l'équipe d'orga ?
  • Églantine : L'équipe d'orga n'est pas définie en-dehors des bénévoles. A priori les bénévoles peuvent faire partie de l'orga.
  • Nolwenn : Dans pas mal de festival, l'orga et les bénévoles c'est deux choses différentes. J'ai réalisé sur place que je pouvais proposer des choses.
  • Guilhem : Il y a des nouveaux-nouvelles qui ont pris des responsabilités. Si qqn-e vient et veut faire qqch, c'est possible. C'est tout à fait possible de travailler les fiches de poste en amont, de prendre contact avec les autres bénévoles, etc. Ce serait utile de savoir quels outils manquent et peuvent être utiles ? L'appli, c'est pour l'amont. Pour le pendant, il faut faire des impressions.
  • Nolwenn : Si l'équipe d'orga n'est pas fixe, comment se prennent les décisions ? Réponse : les discussions se font lors des réunions avec les présent-es.


L'année prochaine

  • Est-ce qu'on appuie sur le fait que c'est les 10 ans ?
  • Églantine : Faire sur 2 week-end de suite ?
  • Guilhem : On a beaucoup trop de gens qui veulent des places, et c'est insatisfaisant. Faire 2 semaines de suite, avec la même programmation (ou pas) ?
  • Quentin : En tant que bénévole, ça me paraît compliqué de me libérer pour l'installation + la semaine + la désinstallation. Dans ce cas je serais absent dans la semaine entre les deux : ce serait une logistique en plus, mais je ne suis pas loin.
  • Xavier : Qu'en est-il du nombre de volontaires pour être bénévoles ? Y a-t-il de quoi faire 2 équipes ?
  • Thibaut : C'est en effet ce qui se fait sur les longs festivals
  • Marianne : Ca veut dire que le Morimont accueille et nourrit les bénévoles pendant une semaine de plus ?
  • Églantine : On peut aussi faire un petit chantier pas trop hard pendant la semaine.
  • Guilhem : Ou faire un festival plus long ?
  • Xavier : Y a-t-il assez de monde qui reste le dimanche soir ?
  • Guilhem : Oui, d'autant que beaucoup prennent le pass 3 jours
  • Thibaut : Les retours que j'ai, c'est que c'est très cool que les concerts démarrent plus tôt (comme le dimanche), pour éviter que les bals finissent à 4h du mat : finir à minuit c'est cool.
  • Florian : D'autant plus qu'après il y a des bœufs.
  • Guilhem : Pour faire ça il faut ne plus faire d'ateliers dans la grange (car ça joue sur l'heure de début des balances)
  • Neige : Il faudrait un parquet dans la grange
  • Prévoir un quizz

RDV dans 2 semaines pour les réunions en visio